Pour mon projet, j’ai décidé de faire pousser des plantes, plus précisément des légumes, pour trouver lequel serait le meilleur candidat pour faire de la phytoremédiation. J’ai décidé d’utiliser les légumes, car ce sont des plantes qui sont facilement retrouvées dans les cours des gens. La raison pour laquelle j’ai voulu faire cette expérience est parce qu’elle à un lien direct avec mon projet final d’intégration qui portait sur les meilleurs candidats de phytoremédiation au Québec, sauf que cette fois, c’est sur des plantes que les gens font pousser derrière leur maison. Pour mon projet, j’ai étudié deux variables : la biomasse et la vitesse de croissance. La biomasse est extrêmement importante dans un contexte de phytoremédiation, car le plus de tissus une plante a, le plus elle pourra absorber des métaux lourds. Pour la croissance, si l’on en venait à couper une partie de la plante, il est important qu’elle puisse repousser rapidement pour recommencer à absorber les métaux lourds dans les nouveaux tissus. Pour conclure, j’ai trouvé qu’entre le radis, le haricot, l’aneth, le persil, le poivron, la tomate et l’oignon vert, l’oignon vert était le candidat le plus fiable pour une modification génétique d’un gène d’hypperaccumulateur de métaux lourds.