La motivation derrière le choix du sujet de mon projet d’intégration était de démystifier l’anorexie nerveuse. Cette maladie psychiatrique a malheureusement connu une augmentation de cas lors de la pandémie et du confinement. Pour être honnête, ma motivation première était d’être capable d’identifier des troubles alimentaires et savoir qu’elles étaient les impacts sur le corps de la femme. Durant cette période difficile pour les adolescentes, j’ai remarqué une augmentation du trouble alimentaire dans mon entourage. Ce sujet me tenait donc à cœur. De plus, je voulais que mon projet d’intégration puisse être d’actualité et il l’est. Mes observations empiriques correspondaient à mes recherches. Plusieurs médecins de l’enfance ont remarqué et prouvé une augmentation de cas d’anorexie nerveuse, le Centre national d’information sur les troubles de l’alimentation (NEDIC) à donner comme statistique qu’il y a eu une augmentation de 104 % de ses services pour la tranche d’âge de 11 à 19 ans. En bref, l’anorexie nerveuse est un trouble alimentaire qui regroupe une multitude de conséquences tant physique que physiologique chez les gens qui en souffrent. Mon projet avait pour but d’informer mes pairs des symptômes les plus courants et leurs conséquences afin de les sensibiliser à l’anorexie nerveuse.